Alicia Schwarz { En cours...

▐▐ Un peu de description▐▐

Physique
Je suis le portrait craché de ma mère. Petite mes cheveux étaient de couleur marron, plus tard, je décidai de teindre ma magnifique crinière en noir corbeau, histoire de ne plus avoir l'impression d'être une pâle copie de ma génitrice. Je ne suis pas consciente de ma beauté, oui, car je ne suis pas du genre à me vanter, cependant je sais user de mon physique pour séduire. Mes yeux sont bleus et extrêmement profonds, c'est à travers de ceux-ci que l'ont peu facilement capté mes émotions, intenses et expressifs. Ils me rendent entièrement mystérieuse et capte l'attention de mon interlocuteur. Ma peau est excessivement blanche, telle celle d'un vampire, ce qui fut aussi l'objet de nombreuses railleries, cependant, elle rosie au soleil, sans pour autant bronzer, ce qui m'a toujours déçue, j’ai hérité cela de mon maudit père. Je mentionne plus bas le fait que j’ai, enfin, j’avais, un grand frère. Je ne lui ressemblais pourtant absolument pas. Lui était châtain, de naissance, ses yeux étaient verts, mais souvent inexpressifs et il bronzait. Il était parfait, délicieux, magnifique...
Je m'habille selon mes envies, je n'ai pas de réel code vestimentaire. Je ne suis même pas la mode, c'est bien trop prise de tête d'après moi. La couleur qui me va le mieux est le noir, qui fait ressortir l'amplitude et la beauté de mes yeux, ou tout du moins c'est celle que je préfère porter, avec le blanc, car j’aime me fondre dans la masse tout en restant élégante.

Caractère
J’aime... J’aime... le calme. Cela dit, j’aime également le contraire. J’aime l’agitation, l’adrénaline qui grimpe doucement le long de ma colonne vertébrale, lorsque j’entreprends un projet qui me tient à cœur. J’adore les orages, les éclairs brisant le ciel noir. J’aime me retrouver dans la nuit avec mon hibou et mes rêveries pour seule compagnie. Ah oui, j’aime rêver. Ce que je n’aime pas ? Oh, c’est plus complexe. J’ai en horreur les nuits de pleine lune. Allez savoir pourquoi ? Evidemment, à cause de mon père. Je l’ai toujours connu ainsi, c’est vrai, je connais son problème par cœur, je sais comment je me dois de réagir. Pourtant, dès que j’aperçois la lumière scintillante de ce satellite, je ne peux retenir cette sensation de froid qui me traverse tous les membres en quelques courtes secondes. La peur, l’échec, peut-être. L’échec ? Je suis paniqué à l’idée d’échouer. Ce qui est affreusement difficile, puisqu’on ne peut pas tout réussir. Les situations que je ne peux pas contrôler m’insupportent, également. J’aime diriger les choses comme je l’entends.

Il vous sera difficile de trouver sur cette planète quelqu'un d'aussi têtu que moi. Bornée et campée sur ses idées, voilà ce que vous pourrez dire de moi quand vous me connaîtrez un peu mieux. Quand j'ai une idée en tête, inutile d'essayer de me la ôter. Aussi, tenter de vous donner raison alors que j'en pense totalement le contraire est pour vous un suicide : jamais, au grand jamais vous n'y parviendrez, autant vous prévenir tout de suite. Ce n'est pas tellement un défaut, mais il est très facile de m'agacer. Je me montre très ouverte et tolérante mais disons qu'il y a une certaine marge à ne pas dépasser en ma présence, auquel cas je ne vous agressera pas mais je n'en penserai pas moins... Sinon, ne soyez pas étonné de voir posé sur vous mon regard toisant et circonspect que peu de gens arrivent à supporter. La jalousie. Cette saleté me ronge. Pour tout et n'importe quoi. Chez moi, c'en devient maladif. Aussi, mon aspect taciturne. Je sais doser ma touche de festivité, et l'utiliser quand il le faut : lors de soirées arrosées, en compagnie de gens festifs. Mais je ne serai pas la jeune femme qui viendra vous aborder ouvertement, d'une voix forte et assurée, avec un air royal et pompeux. De nature franche et d'un naturel qui fait de moi une femme très spontanée et ouverte, je dis tout haut ce que beaucoup pensent tout bas sans m'interroger ; bien sûr je peux être aussi, très hypocrite. On peut aussi ajouter que j'ai un tempérament plutôt désobéissant, indépendant et assez roublard. Se plier sous les ordres de quelqu'un m'est difficile voire impossible : sur ce point là, j'aurais pu être une parfaite Rebelle. Restent encore quelques défauts communs tels que l'impatience à fort degré, et bien d'autre ... Etant du genre inflammable, je sais ce que c'est qu'être furieuse et mieux vaut ne pas montrer le bout de son nez dans ces moments là. Ma spontanéité fait que je pourrais vous flanquer une torpille même si je vous apprécie.

Intuition étant chez moi très développée, je suis très sensible à mon environnement. Je "ressens" les ambiances, les humeurs et les sentiments d'autrui et lorsque je capte des influences négatives j'en éprouve une sorte de malaise qui affecte immédiatement tout mon être, d'autant plus facilement que ma vive imagination risque de me déstabiliser encore plus en amplifiant ma réceptivité.
Je suis très possessif et jalouse autant en amour qu'en amitié.

Faite tout d'une pièce, mon énergie naturelle me pousse fréquemment à désirer avoir la première place partout où j'arrive et sans l'étrange sympathie qui émane de ma personne, certains pourraient parfois me trouver arrogante et beaucoup trop déterminé. Sûrement prête à tout pour gagné, ma force et mon envie me donne ce côté de garce que je cache au fond de moi. Foncer tête en avant n'a évidemment pas que des avantages. A force de courage et de mouvement, je peux aussi me cogner et brutalement… douter. Du coup, tout mon courage, ma droiture, mon enthousiasme et ma franchise peuvent se muer en une certaine agressivité, une révolte et une vulnérabilité que personne n'aurait soupçonnée avant.

Je suis courageuse, franche, enthousiaste, dynamique, très rapide, extravertie, directe, Fêtarde, démonstrative, chaleureuse, impulsive, aventureuse, intrépide, guerrière, possède un grand esprit de compétition, mais je peux aussi parfois être naïve, dominatrice, égocentrique, impatiente, narcissique, égoïste, imprudente, inconsciente, gaffeuse, infantile, colérique, téméraire. En faite, j'ai tout simplement une double face.

Je n'aime pas ce faire amadouer ni contrôler. Tel un loup sauvage, jamais j’accepterais la captivité. L'idée d’être enfermée est déjà un lourd supplice pour moi, je ne supporte pas les murs, les restrictions, tout comme les ordres... L'indépendance, que diable! Il n'y a rien de meilleur. L'une de mes philosophie est “vivre et laisser vivre”, grâce à laquelle je me montre plutôt tolérante. Mais cela n'empêche pas que j'ais une très mauvaise opinion de la gente féminine et masculine qui se pense supérieur. Me regarder de haut aura sur moi un effet très néfaste. A défaut de vous taper dessus, je n'aurai plus aucune estime pour vous, aussi, l'hostilité que je vous porterai dans mes paroles sera plutôt désagréable. Je suis plutôt facile à vivre, mais dans le quotidien, il y a un grand nombre de choses qui m'irritent ; il serait bien trop long d'en faire une liste exhaustive.

J’aime l'indépendance! L'originalité. J’apprécie aussi la tranquillité, qu'on me laisse au calme quand j'en ai envie est un pur bonheur.
J’aime aussi le son de la pluie. Quel bonheur! Pour s'endormir, rien de meilleur.

Je n'ai pas peur de grand-chose, en effet, je considère qu'être effrayé revient à devenir soumis, à être à la merci de ce qui nous horripile. Hors, être à la merci d'une petite araignée inoffensive pourrait nous rendre bien plus que ridicule. Pourtant, il y a bien une chose qui m'effraye. C'est la perspective de perdre tous ce qui me sont chair, mes amis les uns après les autres. Je suis de nature lâche, mais je n'ai pas peur de me donner la mort, je n'ai pas peur de me jeter dans la gueule du loup.

Particularité(s) Physique et/ou Mentale
Malgré les apparences, malgré mes sourires, je souffre énormément, mon cœur saigne depuis que j’ai 12 ans, depuis que lui est partit… Depuis que mon frère est mort pour me défendre. Je considère que cela est de ma faute, je n’aurai pas du lui en parler. Je n’ai toujours pas fait mon deuil mentalement, la musique et tout ce qui touche l’univers Artistique est une sorte de refuge pour moi. La seule personne à être courant de cela est Chris Traumer, mon meilleur ami, le seul en qui j’ai confiance, et le seul qui peut me consoler…

▐▐ Un peu d’histoire ▐▐

Histoire
Un certain 8 Novembre 1991, dans une clinique très réputée de Berlin, où beaucoup de Stars Allemandes avait accouchée, Mademoiselle Smith une actrice Américaine très célèbre et à peine âgé de 23 ans mis au monde son deuxième enfant, une petite fille qu’elle appela Alicia, Alicia Schwarz, c’est moi !! Je ne vais pas vous raconter ma naissance, car j’en ai de très vague souvenir. Je me rappelle seulement de la joie de mes parents d’avoir une fille, de la voie de mon père disant que je réussirais dans la vie, et puis plus rien. En effet, car deux ou trois jour après son accouchement, ma mère repartie pour New York pour tourner son prochain film, et mon père Monsieur Schwarz (d’origine Allemande), étant un DJ très prisé, ils disparu donc de ma vus. Je fus placé chez mes grands-parents paternel à Leipzig. Je fus accueilli chaleureusement, ils étaient fiers d’avoir ENFIN une petite fille. Car j’ai un grand frère de deux ans mon aîné, ce dernier se nommait Matthias Schwarz.
Je fus donc élevée avec amour et gentillesse, je ne voyait que très rarement mes parents, juste pour Noël, le jour de l’An, mon anniversaire ainsi que celui de mon frangin, et deux semaines en été. Avant, je pensais qu’ils n’avaient rien à faire de nous, mais je compris que c’était pour nous protéger des paparazzis, pour que l’on est une vie « normale ».

Matthias était toujours là pour moi, il s’occupait souvent de moi, car nos grands-parents étaient assez âgés, donc il les aidait en leur réduisant les tâches à faire. Dès l’âge de quatre ans, je commença à faire comme lui, je l’imitais, le suivais partout.
Beaucoup de gens étaient attendrit par notre complicité et l’amour que l’on ressentait l’un pour l’autre, souvent on me demanda si il était mon cousin, car nous ne nous ressemblions pas du tout. J’étais le portrait de ma mère : cheveux presque noir, yeux bleu, petite taille, à part ma peau pâle que j’avais hérité de mon père. Lui avait les cheveux châtains, des yeux verts, et la peau mâte, qu’il avait eu de ma mère. Et encore aujourd’hui, quand je montre à des camarades une photo de nous deux ados, ces derniers sont étonnés de savoir que c’est mon frère.
Matthias attirait facilement les gens, de plus il était très intelligent, et jouait même de la guitare dès l’âge de six ans, c’est lui qui m’initia.
Quand j’avais six ans, et lui huit ans, un week end, il ramena deux amis de l’école, des jumeaux qui se nommait Bill et Tom Kaulitz. J’ai encore souvenir des bêtises qu’ils faisaient ensemble, et que j’étais assez jalouse de leur complicité, mais heureusement que mon frère me présenta à eux, et je m’intégrai facilement. Nous nous voyions tous les après-midi après les cours du matin et le week end. Nous étions très proches, j’étais même leur première fan, car les deux Kaulitz voulaient monter un groupe de rock, je les soutiens très vite. Matthias, lui ne voulait pas en faire son métier.

L’année de mes dix ans, nos grands-parents décédèrent dans un accident de voiture, notre grand père avait fait une crise cardiaque au volant. Notre mère vint de suite nous chercher, nous fûmes nos adieux au Kaulitz, et nous nous promirent de garder le contact. Nous emménageâmes donc en Floride, dans l’immense villa de nos parents. Nous avions des domestiques (jardinier, cuisinière, chauffeur, femme de ménage et gouvernante) à notre disposition. Nous allâmes dans des collèges très réputés. Et nous gardâmes notre promesse et écrivîmes à nos amis Allemand.
Mais un jour notre vie paisible bascula du jour au lendemain, et cette bêtise ne peut pas être réparé…

Quand j’avais douze ans, et Matthias quatorze ans, nous assistâmes à l’avant première d’un des films de notre film, avec notre père, beaucoup de gens pensaient à la famille parfaite… mais ils ne savaient pas que dans quelques heures, cette famille « parfaite » allait subir un drame inconsolable.
En effet, après que nous ayons vus le film en compagnie des plus grand, moi et Matthias devions rentrer chez nous car le lendemain nous avions cours. Notre limousine nous attendait de l’autre côté d’une ruelle sombre. Je partis la première. Je fus interpeller par des gars plus âgé que moi, ils étaient trois, je crois, ils m’abordèrent, mais quand ils remarquèrent que je n’était pas intéresser, ils me suivirent et fus violent. Je me mis à crier, Matthias arriva à se moment là, il mit un bon gros coup de poing à l’un d’eux, et me dit de courir. Je m’exécutai pour appeler de l’aide.
Je me retourna, et vus l’un des voyous sortir un couteau et l’enfoncé dans la poitrine de mon frère, je cria, pleura, ils le mirent à terre en le frappant, le ruant de coup de pied. Je partie en pleure, une fois que je trouva la sécurité, je leur dit ce qui c’était passé, mais nous arrivâmes trop tard, Matthias était mort sur le coup.

Depuis se jour, j’ai plongé dans une profonde dépression, je pleurais tout le temps, et restait enfermé dans le noir. L’information fut diffusé, je reçu un message de Bill et Tom me disant qu’ils étaient désolé de ce qui c’était passé, et que si j’avais besoin de parler, ils étaient là pour m’écouter. Je ne leur donnèrent plus aucunes nouvelles depuis.
Ma dépression dura deux ans, mes parents décidèrent de me renvoyer en Allemagne, à Leipzig, chez une de mes tantes, mais rien ne changea. Ce fut à se moment là que je commença à écrire des chansons plus ou moins gaies. J’entra dans une école d’Art, et devins amie avec Chris Traumer, je remarquai que quand j’étais avec lui, je me sentais mieux. Maintenant cela fait quatre ans que nous nous connaissons, et je l’adore, je ne peux pas vivre sans lui.
L’année de mes dix huit ans, je devins folle, et je fis une fugue, je couru, et envoya un message à Chris pour lui dire que je ne pouvais plus vivre sans mon frère, il fallait que je le rejoigne. Je montai en haut d’un immeuble dans l’intension de me suicider. Au dernier étage il y avait une fête, les gens s’amusaient, et au moment où j’allais sauter j’entendis une voix qui m’était familière, une chanson nommé « Spring Nicht », je l’écouta en pleurant, puis descendit en larme, c’était la voix de Bill. Les jumeaux Kaulitz, les seules personnes qui avaient encore un lien avec moi et Matthias. Quand je rentrai chez ma tante, Chris m’attendait et me serra dans ses bras, il était heureux que je sois encore en vie. Je lui dis que j’avais besoin de réfléchir, il me laissa seule. Je tapa le titre de la chanson sur le net via mon ordinateur portable, et l’écouta e boucle. Je remarquai que mes anciens amis étaient maintenant célèbre, dans un groupe de Rock nommé Tokio Hotel.
Je leur écrivis de suite, vus que je connaissais toujours leur adresse E-Mail, je leur envoya un message en leur racontant tout ce qui c’est passé depuis la mort de Matthias, ma dépression, mon retour à Leipzig, mon école d’Art, Chris mon meilleur ami et les sentiments bizarre que je ressens pour lui, ma crise de folie, mon envie de suicide, ce qui m’a empêché de faire, je les remercia, car grâce à eux j’étais toujours de se monde. Et surtout de ma passion pour la musique, ce que j’écrivais, etc.
Je leur ajouta même que si un jour ils devaient revenir à Leipzig, se serait super sympa qu’on se revoit.

▐▐ Encore plus▐▐

▐ Ce que tu aimes:
J’aime, ou plutôt J’ADORE tout ce qui touche l’Artistique, je suis moi-même une artiste, je suis étudiante en faculté d’Art. Je dessine, je peins, je sculpte, je transforme, je crée. Ma passion depuis déjà six ans est la chanson, j’écris mes propres textes, sur l’ordinateur, avec mon meilleur ami, on crée la musique d’accompagnement, car je suis au chant, et joue de la guitare électrique, et lui de la basse. Je veux absolument devenir célèbre, et vivre de ma musique, il n’y a pas autre chose dans la vie qui me passionne autant.
▐ Ce que tu n’aimes pas:
Je déteste que l’on me donne des ordres, je suis indépendante, je ne supporte pas les gens se croyant supérieur car ils gagnent bien leur vie, ma famille est riche est pourtant je me comporte normalement. J’ai horreur d’être enfermé entre quatre mur, je deviens très vite folle. J’ai toujours raison, et je n’aime pas que l’on me contredise, alors attention. Mais ce que je déteste le plus est la mort, car elle nous enlève les personnes qui nous sont chère…
▐ Expression ou citation favorite :
"Vivre et laisser vivre"

▐▐ Et pour terminer, vous▐▐